Puisque nous sommes en pause forcée (enfin pour certains, car n'oublions pas tous les travailleurs qui continuent à oeuvrer dans l'ombre...), on prend le temps de penser à soi, à nos proches, à notre santé... et à la planète ! Mais oui ! Et pour ce faire, devenir parrain ou marraine d'un rucher, foyer très actif de nos chères et indispensables abeilles est une solution simple, écologique, encourageante et gourmande ! En effet, Bruno, apiculteur depuis de nombreuses années, propose de parrainer une ruche grâce à 3 formules différentes sur une année. Au final, on est tenu au courant de l'évolution des abeilles, on reçoit une belle partie de la production de ces demoiselles et puis suivant la participation, il est même possible de venir visiter la ruche !
Je vous joins ce texte écrit avant hier par mon amie Nadia. Elle a su, dans sa colère, retranscrire parfaitement un ressenti que je partage complètement...
Nous sommes obscènes !!!!
Je lis, j’écoute et je vois du coin de ma fenêtre ceux qui se promènent, ceux qui courent, ceux qui ne respectent pas la consigne de rester chez soi … et les sirènes plusieurs fois par jour ! J’entends aussi ceux qui se retrouvent en cachette pour organiser des dîners comme au temps de la prohibition, ceux qui empoisonnent petit à petit les réseaux de leurs théories du complot histoire d’exister un peu plus au champ de bataille ! Vous êtes obscènes ! Ces femmes et ces hommes politiques qui dans toute leur indécence abyssale nous matraquent de leurs poncifs habituels et esseulés de ce qu’ils auraient pu faire ou de ce qu’il aurait fallu faire... Les « y a qu’à, faut qu’on » nourrit à la tétine de la Nation depuis des années !! Et la Nation c’est Nous ! Vous n’auriez pas fait mieux et peut-être pire ! Mais voyez-vous : On s’en fiche!!!! Ceux qui n’ont pas su ou voulu écouter les messages d’alerte ! Car vous êtes obscènes et Nous sommes devenus Obscènes !! Nous sommes là à contempler nos morts, nos mourants, devenus des chiffres, des statistiques ! Nous sommes obscènes ! Nous ruer comme des bêtes malades et affamées pour des rouleaux de papier ! Nous sommes obscènes ! Dans notre inconséquence à croire qu’en faisant fi des consignes nous serions plus fort ! Nous sommes obscènes ! Dans notre Égo surdimensionné, comme des enfants capricieux, nous sommes devenus des adultes mal élevés incapables de gérer la plus petite frustration et nous en devenons criminels ! Nous sommes obscènes ! Face à ce triste constat surréaliste de croire que nous aurions encore la main sur ce monde! Dans votre refus à croire en la dangerosité létale de cette pandémie vous mettez en péril des familles entières, des innocents, mon clan, moi ! Vous rendez pour certains l’insoutenable encore plus barbare! Parce qu’un enfant continue à être violé et qu’on ne pourra pas le sauver!!! Vous êtes obscènes ! Parce que des femmes continuent à tomber sous les coups d’individus pétris de morbidité jouissive ! Vous êtes obscènes ! Parce que les parents ou le soignant ne pourront pas promener ou assurer certains soins quotidiens à l’enfant ou au parent handicapé ! Vous êtes obscènes ! Parce que nous ne pourrons pas assister aux obsèques de nos proches! Vous êtes obscènes ! Parce qu’on ne pourra pas les embrasser une dernière fois ! Vous êtes obscènes ! Parce que le père ou la compagne ne pourront pas assister à la naissance de leur enfant ! Vous êtes obscènes ! Parce que vous rendez les fragiles encore plus fragiles, les malades encore plus souffrants ! Vous êtes obscènes ! Parce que vous ne restez pas chez vous ! Vous êtes obscènes ! Parce que vous empêchez les soignants de respecter leur serment d’Hippocrate, à devoir opérer un choix pour la vie peut-être ou la mort ! Vous êtes obscènes ! Parce que vous volez des masques ou du gel, parce que vous braquez les voitures des infirmières, parce que vous montez des petits bizness pour faire de l’argent sur nos morts et condamner des vivants ! Vous êtes obscènes ! Parce que lorsqu’un de mes patients ou ami, cri, pleure d’angoisse, qu’il s’enfonce tout doucement dans un néant sans Humanité, et que je ne peux plus lui tendre la main ! Vous êtes obscènes ! Parce que nous n’entendons plus au loin les cris de nos sœurs et frères qui croupissent, dans la rue, les cris encore plus loin de ceux qui croupissent dans la faim, sans médecine ou dans des geôles sans droit ! Vous êtes obscènes ! Parce que dans votre toute puissance vous pensez que « contrevenir » aux règles barrières fait de vous le plus malin de la bande ! Vous êtes obscènes ! Parce que vous mettez en péril nos soignants, nos pompiers, nos policiers, nos bénévoles associatifs, tous ceux qui oeuvrent au quotidien pour que nous ayons à manger, de l’eau dans nos robinets, à manger au supermarché et de l'électricité dans nos maisons.
Je déclare la guerre à mes deux ennemis le Virus et l’Obscénité, JE RESTE CHEZ MOI et RESTEZ CHEZ VOUS pour que ceux qui tiennent encore debout puissent accomplir ce qui n’est plus un devoir mais un geste Humanitaire de nous maintenir en vie. Nadia
Ce court-métrage en stop motion illustre avec humour le besoin de “péter un câble”
La réalisatrice et animatrice suédoise Anna Mantzaris a réalisé "ENOUGH", un amusant court-métrage en stop motion qui illustre le besoin que nous pouvons avoir parfois de littéralement "péter un câble".
On a tous déjà vécu dans la vie ce moment où on a tout simplement envie de péter un câble et de tout laisser tomber. Un sujet qui parle à tout le monde et qui a visiblement inspiré Anna Mantzaris, une artiste suédoise qui en a réalisé un amusant et mignon court-métrage.
Anna Mantzaris est réalisatrice, animatrice et productrice. Alors qu’elle faisait encore ses études au Royal College of Art, elle a réalisé ENOUGH, un court-métrage en stop motion qui met en avant d’adorables personnages qui craquent les uns après les autres.
ENOUGH met en scène différents moments de la vie de tous les jours : faire la queue à la banque, assister à une réunion ennuyeuse, faire un trajet en bus avec quelqu’un qui parle fort au téléphone… Dans chacune de ces situations, le court-métrage illustre l’un des personnages qui perd littéralement le contrôle.
Mais ce qui est particulièrement marquant et amusant dans le court-métrage d’Anna Mantzaris, c’est le contraste qui existe entre les différents personnages, à l’aspect naïf, voire mignon et la réaction qu’ils ont en faisant face à la contrariété.
Une véritable pépite visuelle que nous vous proposons de découvrir ci-dessus. Enfin, vous pouvez vous rendre sur le portfolio d’Anna Mantzaris pour découvrir l’ensemble de ses créations qui valent sérieusement le coup d’oeil.
J'fume le cigare comme une cubaine, Le cendar' rempli de mes peines, Paumé dans les bouchons de lièges Goutte après goutte je m'abrège, Encore une fois c'est ma tournée, Pas la dernière de la journée, J'suis le reflet du n'importe quoi Même le miroir se moque de moi, J'ai passé ma nuit au comptoir Tout ça dans l'espoir de te voir, J't'attends encore, Si tu voulais passer ce soir Mon cœur battrait un peu plus fort,
Plus je bois, plus je bois, plus je bois, Plus je bois
Plus j'te vois, plus j'te vois, plus j'te vois, Plus j'te vois, Plus j'me noie, je me noie, je me noie Je suis une femme à la mer, Plus je bois, plus je bois, plus je bois, Plus je bois Plus je crois plus je crois plus je crois, Qu'on est tout seul avec soi, avec soi, avec soi, Même si on en a pas l'air Les amours tour à tour me mentent, J'prends des tournants je me tourmente, Je fais des pas sans y penser, Les démons m'invitent à danser, Une chorégraphie de comptoir sur un tango de désespoir, Belle mise à mort, Si tu voulais passer ce soir Mon cœur battrait peut-être encore.
Plus je bois, plus je bois, plus je bois, Plus je bois Plus j'te vois, plus j'te vois, plus j'te vois, Plus j'te vois, Plus j'me noie, je me noie, je me noie Je suis une femme à la mer Plus je bois, plus je bois, plus je bois, Plus je bois Plus je crois plus je crois plus je crois, Qu'on est tout seul avec soi, avec soi, avec soi, Même si on en a pas l'air
Deux âmes seules feront peut-être, Deux âmes sœurs pourront renaître, Deux âmes seules valent mieux qu'une, Je plonge dans tes yeux sans rancune,
Plus je bois, plus je bois, plus je bois, Plus je bois Plus j'te vois, plus j'te vois, plus j'te vois, Plus j'te vois, Plus j'me noie, je me noie, je me noie Je suis une femme à la mer, Plus je bois, plus je bois, plus je bois, Plus je bois Plus je crois, plus je crois, plus je crois, Qu'on est tout seul avec soi, avec soi, avec soi, Même si on en a pas l'air.
Gros coup de ♥ pour cette chanson : paroles, voix, rythme, message... J'aurais presque envie d'en changer le titre pour la faire correspondre encore plus : Femme à l'amer...
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