Jeudi soir, petite forme, envie de cinéma, mais pas envie de grosse artillerie lourde américaine ni de réflexion croato-hispano-suédo-franco-congolaise encore moins de grands prix, bref me voici à 18h00 assise dans un simili confortable fauteuil bordeaux devant le défilé des bandes annonces attendant sans véritable impatience les premières images de Garden State.
Résultat des courses: je ne vais pas remplir des pages et des pages de commentaires farfelues et incompréhensibles (je ne suis pas journaliste à Libé non plus!), je vais seulement dire que, oui, j'ai adoré, oui, j'ai aimé cet ovni des écrans noirs, oui, les personnages sont attachants car un peu/tellement comme nous, oui, c'est vrai et frais, oui, j'ai ri et oui, re-oui, j'ai pleuré et tant mieux, ça faisait longtemps que je ne m'étais pas retrouvée comme une pauvre pomme en train de renifler dans un salle de cinéma (attention ce n'est pas triste au contraire mais bon j'ai un coeur aussi et j'aime faire ma fifille de temps en temps!).
Bon ok, j'avoue que les 5 dernières minutes sont un peu mélo (ben oui le film vient quand même d'outre-atlantique) mais elles s'oublient vite face aux 97 autres minutes d'émotions vraies!
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